vendredi 27 janvier 2012

The Dictator: Sacha Baron Cohen ou Adam Sandler ?

"Je perds toujours à Tetris!"

J'attends avec impatience le nouveau film de Larry Charles, le réalisateur de Borat et Brüno, tant j'aime son humour décalé. C'est amusant, ce film me fait penser à ce super Gif animé de Kal Penn en mimant un terroriste.
On nous propose aujourd'hui une nouvelle affiche pour le film et j'avoue avoir douté de l'identité du personnage. Tout le monde sait que Sacha Baron Cohen incarne le dictateur barbu, mais c'est à se demander s'il n'a pas demandé à Adam Sandler de le doubler sur certaines séquences... La ressemblance est frappante. Je vous laisse en juger.
La sortie du film est prévue pour le 20 juin 2012.

"Moi à Tetris, je suis plutôt bon"

Et pour finir, la petite bande annonce qui va bien et dont on ne se lasse pas.


Le jeudi contre attaque : Cubeecraft Star Wars

"Chié, on ne m'a pas"

En discutant l'autre soir avec des amis, je ne sais plus vraiment comment est arrivée sur le tapis la conversation autour des pliages. Après quelques essais relativement bons pour certains et "correctes" pour d'autres (j'ai tout de même réussi à faire un Toruk Makto... bon ok, à la place d'une grue...), je me suis rendu compte qu'une soirée pliage, c'est certes très con, mais ça peut aussi devenir très drôle. 
Donc j'ai décidé aujourd'hui, pour illustrer la rubrique, de vous proposer un petit pliage Star Wars à faire chez vous.
Ps: c'est un pilote de Tie Fighter.

(il faut cliquer sur l'image pour l'agrandir, l'enregistrer et ensuite l'imprimer)

jeudi 26 janvier 2012

Tucker and Dale - Le concours


Vous avez peut-être entendu parler de cet ovni du cinéma qui sort sur nos écrans le 1er février: Tucker ans Dale Fightent le mal ! On propose aujourd'hui, et pendant 16 jours, de participer au jeu de Filmo TV et gagner 5 places valables pour 2 personnes ainsi que de nombreux goodies du film.

Pour jouer, vous pouvez CLIQUER ICI et tenter votre chance.

Pour ma part, j'arbore fièrement la casquette de Tucker depuis le jour de la projection du film pour la presse, soit presque depuis plus d'un mois. On peut donc comprendre plusieurs choses :
1 : Je n'ai pas honte de sortir avec c'est donc que le film est plutôt réussi.
2 : Le couvre chef est vraiment stylé et a de la gueule.
3 : J'aime les tronçonneuses.
4 : J'étais comme ça après le film !

Et voici la bande annonce qui tue aussi en attendant le 1 février pour voir le film en salle.







L'histoire : Tucker et Dale sont deux gentils péquenauds venus se ressourcer en forêt. Ils y rencontrent des étudiants venus faire la fête. Suite à un quiproquo entraînant la mort d’un des jeunes, ces derniers pensent que Tucker et Dale sont des serial killers qui veulent leur peau, alors que nos héros pensent que les jeunes font partie d’une secte et qu’ils sont là pour un suicide collectif ! C’est le début d’un gigantesque malentendu dans lequel horreur et hilarité vont se mélanger.

samedi 21 janvier 2012

The Darkness 2 sur Ykio

"Un petit mal de gorge?"

Je vous invite à découvrir la nouvelle preview Jeu de Ykio concernant The Darkness 2, une aventure sanglante dans un monde d'obscurité.

jeudi 19 janvier 2012

Le Jeudi contre attaque: Star Wars version Chien

Ca sert à rien, mais c'est drôle. Bravo à tous ces chiens et à Hélène qui a trouvé ça et qui m'a bien fait rire. Encore un coup de Volkswagen.


vendredi 13 janvier 2012

Cloclo, la première bande annonce

"Non, je ne suis pas Clovis Cornillac!"


Après l'usurpant Benoit Poelvoorde (magistral dans Podium) et l'ère des biopic finissant, il fallait s'attendre à un film consacré à Claude François. Le réalisateur Florent Emilio Siri s'y est collé avec Jérémie Rénier dans le costume du chanteur. Pour Rénier, je trouve le choix de la production plutôt bien. En ce qui concerne Siri, j'ai quelques doutes ayant consulté sa filmo : Nid de guêpes, Otage, L'Ennemi intime... Produit par LGM productions, StudioCanal et TF1 Films Production le film sort dans les salles le 14 mars 2012 avec un beau panel de star à l'affiche: Benoît Magimel, Ana Girardot, Robert Knepper (le mec de Prison Break), Joséphine Japy...




American Reunion, la bande annonce poussiéreuse

"Et la maman de ma maman, c'est mémé ! "

Il fallait s'y attendre, la franchise American Pie ne compte pas s'arrêter sur Les sex Commandements de John Putch. Quoi ? Vous ne vous en souvenez pas ? Certainement parce que parmi les sept films qui sont sortis sur le thème, ce dernier est ne relève pas le niveau des quatre précédents. Les fans de Jim et de sa bande ont abandonné l'idée de débourser un centime pour voir des pastiches du film de Paul et Chris Weitz sortit en 1999.

Mais les producteurs d'Universal Pictures ont eu la bonne idée de ressortir des greniers poussiéreux la fine équipe des débuts, et cela même si la fraîcheur qui les caractérisait à l'époque s'est quelque peu perdue dans les limbes d'Hollywood.
"A l'époque", c'est vrai que ça fait maintenant 13 ans que le thème American Pie a vu le jour. Pas de quoi vous rajeunir quand ont sait que c'est le premier film sur lequel j'ai écrit...

Maintenant, il va falloir se cogner l'épilogue, quand bien même il le serait, pour terminer la boucle et espérer des réalisateurs Jon Hurwitz et Hayden Schlossberg l'idée glorieuse d'une nouveauté sensationnelle révolutionnant cette franchise tannée.

Sortie envisagée le 2 mai 2012.


jeudi 12 janvier 2012

L.A. Noire en série télé


"Elle est noire O_o"


Vous aviez eu peut-être l'occasion d'avoir entre les mains le dernier jeu de Rock Star Games: L.A. Noire (Elle est noire! ndlr), cette histoire où il faut mener une série d'enquêtes dans le Los Angeles des années 40 entre les magnats de la pègre et le côté obscure des studios de cinéma. 

Grande nouvelle, Frank Darabont, le réalisateur à usage unique de la série Walking Dead, va pouvoir se refaire les dents sur un nouveau sujet loin des morts-vivants. La chaîne américaine TNT lui aurait commandé un pilot pour une date encore indéfinie. 

Réjouissons nous. Le jeu était excellent. Walking Dead l'était également. La série L.A. Noire risque d'être très sympathique.

La dame de fer, saurez-vous reconnaître Meryl ?

"My Taylor is rich ?"

J'attendais de vous montrer cette bande annonce avant de vous parler du film. Réalisé par Phyllida Lloyd, le film sort le 15 février dans nos salles. A très vite pour le commentaire dessus (film que j'ai vu of course mouhahahahah).


mardi 10 janvier 2012

Goon, la belle image du Hockey dans les films

"Aaaaaaah ! Tu veux être mon ami?"

Le hockey sur glace va encore en prendre pour son grade et véhiculer une belle image auprès des parents qui hésitent encore à inscrire leurs mouflets avides de glace et de crosse. On peut se demander cependant d'où vient cette représentation du sport moderne d'origine nord américaine? 

Note: en cliquant sur le nom du film, tu peux écouter la bande originale en même temps que tu lis. C'est cool non?

Dans mon plus vieux souvenir, l'image du hockey à été martyrisé pour la première fois dans le film Running Man de Paul Michael Glaser avec Arnold Schwarzenegger où ce dernier devait se battre dans une multitudes d'arènes pour le plaisir des spectateurs de programmes télévisuels violents. Son premier adversaire était Subzero. Un espèce de gros chinois fringué comme un gardien mais équipé de crosse avec lame incorporée. Va savoir pourquoi... Le type finira sa vie étranglé par un barbelé après avoir planté un des copains d'Arnold.
Moralité : Schwarzy n'aime pas qu'on se moque du hockey.

"J'ai froid. Je ne sens plus mon corps!" 

Ensuite, je me souviens (comme la phrase Québecquoise. Hockey = Québec... Non? bon...) des Petits Champions. Ce film ouvertement franchisé Walt Disney Pictures, sera pourtant une de mes références de gosse. Oui, moi aussi je voulais être un Duck et avoir pour pote Joshua Jackson pour qu'il me pistonne pour jouer dans Dawson quelques années plus tard. Les gamins avaient toujours recours à des stratégies de dingues pour pouvoir marquer des buts. La formation en "V", la statue de la liberté, la triple esquive... Et franchement c'est pas Emilio Estevez qui jouait le coach de l'équipe et qui, à l'époque existait encore à Hollywood, pouvait les en empêcher. Le succès du film donnera par ailleurs naissance à deux suites... Plus ou moins bien.

"C'est toujours le gros le gardien"

Un autre film Youngblood, et de taille, prenait le hockey comme un moyen de forger des amitiés inébranlable (de ce qu'on sait des vestiaire...) et de régler ses comptes avec l'adversaire, généralement poilu et joufflu, en lui foutant une belle trempe à la fin du match (ici). Le problème, c'est que, même si je suis un grand fan de Patrick Swayze et que Rob Lowe était qu'un jeunot pas encore trop tête à claques à l'époque, Youngblood ne retient qu'une facette peut glorieuse du hockey et en oublie tout le côté Fair Play. On peut cependant retenir l'anecdote du film qui voudrait que Lowe ne savait pas patiner avant de faire ce film. La scène d'ouverture montrera que l'acteur à vite compris les bases.
Il n'empêche que je me souviens encore aujourd'hui d'une grande partie des dialogues que je connaissais par coeur.

"Gaffe mec tu t'es coupé avec la crosse de Subzero"

Au suivant. Jean-Claude Van Damme ! Oui, mister "Belgique à travers l'amérique" s'est aussi illustré dans un film portant sur le hockey. Avec son titre digne des plus grands films de Steven Segall, Mort Subite (pas de bo) mettait en scène l'acteur dans le personnage d'un agent de sécurité qui doit tout faire pour sauver le public d'un grand match de hockey d'un danger terroriste. Même prendre l'équipement du gardien de Pingouins de Pittsburg, arrêter un but décisif, et mettre une belle droite à un joueur des Chicago Black Hawks. On passera rapidement dessus, même si cette action de grâce restera un fantasme pour tout joueur.

"Touche pas à ma glace !"

Finalement, tout ça pour dire qu'un nouveau film s'apprête à faire son entrée dans le palmarès des films subversifs de hockey sur glace : Goon. Réalisé par Michael Dowse, le mec qui a fait Une soirée d'enfer, le film raconte l'histoire d'un type, ancien videur, qui va mener une équipe d'arracheurs de ratiches vers la victoire du championnat. On y retrouve Jay Baruchel en scénariste et acteur couplé avec Seann William Scott, le Steve Stifler des American Pie, mélangé avec Liv Schreiber plus Wolverine que Wolverine, Eugene Levy, plus papa de Jim que lui même, et autre Kim Coates et sa gueule d'assassin. Dans ce grand mélange: une bande annonce qui fait rire. Pourquoi? Simplement parce que c'est l'archétype même de la parodie loufoque qui, sans le vouloir directement, va encore faire du mal au sport en véhiculant une image violente, sans cervelle et complètement faussée. 
Est-ce qu'on doit s'attendre à une comédie style Apatow ou une version des douze salopards sur des patins? A noter également que Marc André Grondin fait partie du casting. Perdu sans doute...
Le film sortira certainement directement en dvd chez nous mais sera dans les salles canadiennes le 24 février pour nos amis caribous. 






Et pour info, les enfants se battent comme ça au hockey. C'est beau.




J. Edgar, de Dicaprio à Seymour Hoffman

"Mais t'es qui toi? Johnny Knoxville ou Marshall Eriksen ?"

Lorsque j'ai vu J. Edgar, j'ai eu un problème dès le début du film. Plutôt, je me suis demandé qu'est-ce que venait foutre Philip Seymour Hoffman dans le dernier Clint Eastwood alors qu'il n'est même pas à l'affiche. Certes, j'ai peut-être mal lu le casting et je suis passé à côté de cette information capitale Seymour Hoffman étant un des acteurs les plus brillants de sa génération. Puis à mesure que les minutes passent, je saisis finalement qu'il n'est pas question ici du remarquable acteur incarnant le Truman Capote de Bennett Miller, mais d'un Leonardo DiCaprio transformé par Eastwood, avec maquillage et fausse calvitie pour rendre une image vieillissante de J. Edgar Hoover sur la fin de ses années de gloire. 
Bluffant !
"Chérie, je ne rentre pas ce soir, je dois brosser mon cheval de bronze"

Ensuite, et ça n'engage que moi, l'incroyable jeu d'acteur de DiCaprio est pour beaucoup dans cette interprétation du patron du FBI. L'homme qui avait mille dossiers sur toutes les plus grandes personnalités du monde et qui a dirigé le "bureau" pendant 48 ans, voit sa vie retracée dans un film qui reprend de son point de vu toutes les grandes dates de l'histoire des Etats-Unis.
Je ne vais pas en dire trop, car les avis sont partagés autour du film (le sujet étant tout de même Philip Seymour Hoffman).

"Non, je ne suis pas J. Edgar"
Ici par exemple c'est Philip Seymour Hoffman...

Voila! C'était pas pour dire grand chose. Surtout vous faire profiter de la bande annonce et vous conseillez d'aller voir un film de Clint Eastwood dans lequel papy Kowalsky ne joue pas et qui vaut le coup d'oeil (contrairement à d'autres Aù delà ou Invictus...)




Bilbo, le voyage inattendu, la bande annonce VOSTFR

"Pénard, au pied de mon arbre, pour le coup vous pouvez passer"


Prévu pour le 12 décembre 2012, la nouvelle réalisation de Peter Jackson va faire couler de l'encre. Entre les détracteurs qui n'ont pas aimé Le Seigneurs des anneaux, peut-être trop élagué de l'oeuvre originelle, et les fans de Jackson qui ne jurent que par les challenges posés par le dresseur de King Kong, la bataille risque certainement d'égaler celle des vastes pleines verdoyantes de Minas Tirith.
A voir cette bande annonce, on peut se rassurer de la performance de Martin Freeman (rien à voir avec Morgan) qui semble bien avoir saisis l'enjeu d'un tel film et doit porter sur ses épaules un des récits les plus fédérateurs de Tolkien. 
Laissons lui sa chance au petit personnage aux pieds poilus, même si vu de plus près, les nains de la troupe de Thorin ont vraiment une piètre allure.


mercredi 4 janvier 2012

Freakonomics, un docu qui change

"Merci Jesus"

Mercredi dans les salles sort un documentaire au format plutôt original: Freakonomics. Réalisé par Seth Gordon, Morgan Spurlock, Alex Gibney, Eugene Jarecki, Rachel Grady et Heidi Ewing (oui rien que ça), ce film tend à mettre en avant des expériences scientifiques basées sur l'économie et l'étude des chiffres pour trouver réponses à des problèmes de société contemporains.

C'est certain que dit comme ça, ce n'est pas forcément le moyen le plus vendeur de mettre en avant les qualités du film. En fait, Freakonomics c'est l'adaptation éponyme du livre du journaliste Stephen Dubner et de l'économiste Steven Levitt basé sur les travaux de recherches de Levitt. Le but? En analysant des données rigoureuses liées aux événements de la vie quotidienne, on peut donner un éclairage original et inattendu sur des thèmes tels que l'éducation, le crime, la corruption, l'immobilier et tous les maux du monde.


Et on parle de mes comptes d'apothicaires...

J'avoue qu'au premier abord, le format "mise en scène" m'a parfaitement rebuté et que je ne trouvais dans ce documentaire "saugrenu" finalement que l'amoncèlement d'idées et d'effets propres à n'importe quel documentaire américain vu sur la télévision. Au bout de quelques dizaine de minutes vient, finalement, l'intérêt de la forme et un sens pas si idiot. En quatre grands tableaux, Freakonomics expose ses théories. On les entend ou pas, c'est à chacun de trouver son intérêt dans ces différents chapitres. Cependant, sans qu'on s'en rende compte, les idées commencent à être écoutées. Tel une inception minutieuse dans notre tête, on commence à penser que les pratiques proposées, et surtout expliquées par les fameuses "mises en scène", ne sont pas dénuées de toutes logiques. Si parfois, l'introspection est poussé légèrement trop loin, elle n'en reste pas le moins du monde intéressante et fort réflexive.

Sortie au cinéma le 4 janvier 2012.




FREAKONOMICS Bande annonce du film