samedi 15 décembre 2012

Le Hobbit c'est pas un branleur, le conseil ciné du weekend



Pour vous, les Hobbits c'est pas des branleurs! La Terre du milieu, c'est un peu une échappatoire à la météo de merde! Vous avez épuisé votre réserve personnelle d'élixir d'Aragorn ou de jus de Gimli? En bref, vous ne savez pas quoi aller voir au cinéma ce soir?


1 - Comme tout le monde le sait, Le Hobbit de Peter Jackson est sorti au cinéma cette semaine. Il aura fallu attendre neuf ans pour que le Barbu Néo-zélandais ré-entraine son public en Terre du milieu et nous surprenne encore une fois. Si vous cherchez du spectacle, de belles images et une histoire qui va bien au delà du livre de J.R.R. Tolkien alors vous ne serez pas déçu. 

Lire l'avis complet ici -> Le Hobbit, un film inattendu !

2 - Coup de cœur: Les bêtes du sud sauvage de Benh Zeitlin, magnifique épopée qui fera passer l'Odyssée de Pi pour un "J'aime Lire". L'histoire d'Hushpuppy, une enfant du bayou qui décide de partir à la recherche de sa mère et va vivre une aventure incroyable. Une réalisation formidable pour un film immanquable.

"L'odyssée d'Hushpuppy"

3 - Dans un autre registre: Ernest et Célestine de Benjamin Renner, Vincent Patar et Stéphane Aubier. Un conte pour petits et grands qui raconte l'amitié entre un ours et une souris. Un brin de poésie et de tendresse dans une histoire magique en animation comme il est rare aujourd'hui de voir d'une telle qualité. C'est ce qu'il nous faut en ce moment bordel.

4 - Les fans de Richard Gere vont enfin pouvoir retrouver leur héros. Même s'il semble fatigué, il n'en reste pas moins efficace. Arbitrage de Nicholas Jarecki raconte l'histoire d'un magnat de la finance embourbé jusqu'au coup dans une histoire d'adultère tordue. Ceux qui aime Laetitia Casta, l'aimerons encore ici. Mais le casting ne fait pas tout... Malheureusement. Pour le reste, il ne faut pas aller chercher trop loin au risque de regretter les dix euros dépensés pour la place.

On peut s'en passer:

Télé Gaucho de Michel Leclerc. Un poil grossier, insupportablement parodique et Maïwenn pour qui brailler est synonyme de parler... On aime Félix Moati, mais pas les autres. C'est dommage parce que le thème d'une télé de gauche indépendante qui essaye de survivre est quand même hyper intéressant.

On peut aussi en parler sur twitter: ClemSautet_SCL

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